Amoureuse.

Au départ je voulais écrire comme titre "mon amour" mais comme la personne concernée préfère que je ne parle pas trop de lui sur le blog et que le "mon" me gêne un peu car je ne me sens pas propriétaire de lui, je préfère écrire "amoureuse" comme cela, je parle de moi, je biaise un peu car bien sûr en parlant de moi dans cet état je parle aussi de Lui !!!!

Donc....

Après une semaine délicieuse de vraies vacances passées ensemble, le sevrage est trop rude car il enchaine avec une grosse semaine de travail et je le vois très très peu. Hier soir, rentré à une heure du matin, j'ai lutté pour l'attendre mais au final, j'étais endormie...ce matin, parti à 8h, je l'ai à peine croisé.Vivement vendredi soir que sa longue semaine se termine.

Mais donc...

Je me sens véritablement amoureuse, dans l'attente d'un petit message, d'un petit coup de fil, et dans des pensées véritables pour lui en me demandant si tout va bien pour lui.

Et puis, en bonne petite crise d'ado qui se profile pour moi à l'aube de ma quarantaine ( ben j'aurais dû être moins sage à l'adolescence !), là, à l'instant T, j'aurais envie de tout lâcher et de partir le rejoindre, lui faire une surprise, déjeuner avec lui,  lui parler, l'embrasser, l'aimer.

Mais....

J'ai fait les courses.

J'ai fait faire les devoirs à la petite dernière.

J'ai coaché mes grands sur tous les sujets évoqués hier....

Je me lance dans l'organisation des deux semaines à venir durant lesquelles nous avons deux correspondantes allemandes à la maison dès lundi soir pendant 15 jours pleins. Je ne peux me permettre de rentrer du travail sans savoir ce que je mettrai dans les assiettes des 8 personnes à table pendant 14 soirs....et certains midis. Mais ce sujet alimentera certainement d'autres articles, comme le thème de la poussière faite hier dans la chambre qui va accueillir ces deux jeunes filles...hum un régal ce rangement-ménage !!!!

Bref, je ne continue pas la liste qui est assez longue, tout cela pour dire qu'amoureuse, je le suis, je le sens, je le ressens mais zut de zut, j'aimerais bien le vivre. La réflexion c'est bien, l'action quand même, parfois, c'est mieux et surtout dans ce domaine-là !