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06/07/2014

Il y a un an.

Hier soir, après avoir écrit dans mon blog, j'ai relu mes articles écrits entre le 20 juin et le 20 juillet.

Bizarrement, j'ai retrouvé toutes les sensations que j'éprouve ces jours-ci.

Bizarrement, j'ai trouvé mes écrits bien plus intéressants que maintenant, plus poétiques, plus optimistes, plus "dans le recul", plus créatifs bref plus plaisants pour les lecteurs.

Bizarrement, j'avais plus de commentaires que maintenant.

Je viens de relire mon article du premier juillet "apnée avec oxygène" ( et oui mes titres étaient plus recherchés aussi je trouve !)et toute la dernière partie de cet article est exactement ce que je ressens un an après.

Besoin de solitude, d'oxygène et pourtant beaucoup de pensées pour ceux que j'aime.

Il y a un an, le camion de la crise partait pour de vrai.

Il y a un an, la confiance en la vie était très présente.

Les événements de cette année (année scolaire mais événements pas seulement liés à l'école) me font entre-apercevoir le camion de la crise et surtout la fragilité de la vie.

Il y a un an, G. commentait mon article,quand j'écris en pensant à elle, c'est la beauté de la vie qui me vient à l'esprit.

Dans un an, je sais que la vie nous aura de nouveau souri, plus de camion, plus de fragilité, plus d'angoisse.

Pour elle, je le veux à tout prix.

Pour moi, mon bonheur, même instable, n'a pas de prix.

J'essaie de revenir plus poétique, promis...et avant un an !